De quoi s’agit-il ?

Ici je ne vous parlerai que du coaching dans un cadre professionnel, et non de coaching de vie ou d’autres formes de coaching plus ou moins ésotériques.

Il s’agit d’un accompagnement individuel et personnalisé dont la finalité est l’atteinte d’un ou plusieurs objectifs professionnels. Le coach est un « accoucheur » au sens socratique, il met en place les meilleures conditions pour que le processus de changement désiré se réalise ;

« 1. Entraînement (d’un sportif, d’une équipe). 2 Accompagnement (d’une personne, d’une équipe) dans l’accomplissement et la réussite de ses projets » Le dictionnaire Robert 

Dans un premier temps, il s’agira ici de la dimension individuelle du coaching.

A noter que le coaching professionnel est, dans sa forme actuelle, née aux États-Unis dans les années 1960. Un des grands inspirateurs de cette pratique fut Milton Erickson, psychiatre, à qui l’on doit également la thérapie par hypnose. Un autre fut Carl Rogers, l’un des piliers de la psychologie dite humaniste. Cette approche, centrée sur la personne (« le client »), participe à libérer les tendances positives naturelles de l’être humain afin qu’il puisse changer son comportement.

Les canadiens étant toujours très en pointe dans les Sciences Humaines et Sociales, c’est auprès d’eux que je me suis formée en 2014-2015.

Quel est le processus utilisé ?

  1. D’abord, le futur potentiel coaché et le coach ont rendez-vous en visio pour faire connaissance, répondre aux questions, connaître la situation actuelle et la situation désirée, vérifier que nous avons envie de travailler ensemble. Le tarif des séances est également évoqué, ainsi que les modalités pratiques du coaching.
  2. Puis, si les deux parties en conviennent, le processus démarre avec un rendez-vous de préparation de la réunion tripartite dans le cas d’un accompagnement au sein d’une organisation
  3. Alors a lieu la réunion tripartite avec le manager de la personne coachée ; y sont fixés formellement les objectifs du coaching et les indicateurs de réussite.
  4. S’ensuivent alors plusieurs séances de travail, dont la durée et la fréquence s’adaptent à la situation du coaché.
  5. A mi-parcours, un point tripartite est réalisé ; les premiers retours du manager sont notés, les avancées exprimées ainsi que les difficultés rencontrées – le cas échéant. Il y est aussi décidé de la poursuite de la mission de coaching.
  6. S’ensuivent les séances de travail.
  7. Enfin la réunion tripartite de fin où le bilan de la mission de coaching est réalisé.

Comment une séance de coaching se passe ?

Il n’y a pas de séance toute-faite ou préfabriquée de coaching. Le contenu de chaque séance est unique et dépend de la situation de la personne coachée, des problèmes éventuels rencontrés, des objectifs poursuivis, etc.   

C’est en posant des questions ouvertes que, dans la pratique, je fais émerger des prises de conscience, un autre angle de vue des choses, d’autres façons de faire.

A faire toujours la même chose, on obtient toujours le même résultat.

Je peux aussi challenger et n’hésite pas à le faire si la situation s’y prête, si cela participera à l’atteinte des objectifs et si le coaché est d’accord avec cela. Cela fait d’ailleurs partie d’un point abordé lors de l’entretien où nous nous mettons d’accord sur le cadre. Un coach est un soutien, un accompagnateur et respecte l’écologie de la personne coaché.

En tant que coach, ma posture est d’être maître du cadre mais c’est le coaché qui est maître du fond. Je suis la garante de la bonne tenue du processus, mais en posture dite « basse » sur les sujets, décisions et le projet. Le coach est ni un conseil, ni un mentor, ni un juge

Toutes les séances se terminent par un plan d’action concret, précis et s’inscrivant dans le temps.

Quels sont les bénéfices d’un coaching ?

Au-delà de l’atteinte des objectifs dits fonctionnels, tels qu’ils figurent dans le contrat de coaching et aux dires des anciens coachés, ils sont nombreux :

La prise de recul, un formidable levier, accélérateur, une liberté de parole dans un cadre respectueux des personnes, le sentiment de n’être jamais seul, une meilleure perception de soi-même et des autres, etc.

Même si le coach ne fait jamais à la place de la personne coachée, il est toujours une personne ressource. La posture d’accompagnement qui le caractérise, quelle que soit la météo (situation de blocage, voire de crise) fait que le coach reste proche et joignable entre deux séances. Dans ma pratique habituelle, cela m’a permis bien souvent en quelques minutes, d’aider à débloquer des situations ou à remettre en marche le processus.

Qui peut le mieux parler de mon travail ? Mes clients

D’autres informations

Et pour finir avec ce premier volet sur le coaching, il faut savoir que le cadre des séances est bien déterminé : la confidentialité est la première règle fondamentale, sans laquelle il ne peut y avoir de confiance. Il n’y a pas de conseils donnés, pas de jugement : le coach « propose » avec des questions, des outils. C’est la personne coachée qui décide, en toute liberté.

Le Coût, minime par rapport aux gains, n’est pas plus élevé que celui d’un avocat – et permet d’anticiper des erreurs ou des problèmes qui coûteront infiniment plus chers.

Pour mieux me connaître : https://flore-damien-coaching.fr/

N’hésitez pas à me contacter !